Interprète(s) : Charles Trenet
Paroles : Charles Trenet
Interprète(s) : Harry James and His Orchestra (1948) Benny Goodman and His Orchestra (1948) Bobby Darin (1959) Sacha Distel (1979) Robbie Williams (2001)
Paroles : Jack Lawrence
La mer
Qu’on voit danser
Le long des golfes clairs
A des reflets d’argent la mer
Des reflets changeants
Sous la pluie
La mer
Au ciel d’été
Confond
Ses blancs moutons
Avec les anges si purs
La mer
Bergère d’azur
Infinie
Voyez
Près des étangs
Ces grands roseaux mouillés
Voyez
Ces oiseaux blancs
Et ces maisons rouillées
La mer
Les a bercés
Le long des golfes clairs
Et d’une chanson d’amour la mer
A bercé mon cœur
Pour la vie
La mer
Qu’on voit danser
Le long des golfes clairs
A des reflets d’argent
La mer
Des reflets changeants
Sous la pluie
La mer
Au ciel d’été
Confond
Ses blancs moutons
Avec les anges si purs
La mer
Bergère d’azur
Infinie
Voyez
Près des étangs
Ces grands roseaux mouillés
Voyez
Ces oiseaux blancs
Et ces maisons rouillées
La mer
Les a bercés
Le long des golfes clairs
Et d’une chanson d’amour
La mer
A bercé mon cœur
Pour la vie
Somewhere
Beyond the sea
Somewhere waiting for me
My lover stands on golden sands
And watches the ships
That go sailing
Somewhere
Beyond the sea
She’s there
Watching for me
If I could fly like birds
On high
Then straight to her arms
I’d go sailing
It’s far
Beyond the stars
It’s near beyond the moon
I know
Beyond a doubt
My heart will lead me there soon
We’ll meet
Beyond the shore
We’ll kiss just as before
Happy we’ll be beyond the sea
And never again
I’ll go sailing
I know
Beyond a doubt
My heart will lead me there soon
We’ll meet (I know we’ll meet) beyond the shore
We’ll kiss just as before
Happy we’ll be
Beyond the sea
And never again
I'll go sailing
No more sailing
So long sailing
Bye-bye sailing
Move on out captain
De la chanson de Trenet, ode à la grande bleue, le parolier Jack Lawrence ne retient que le thème-clé (la mer). Il en fait une chanson d'amour dans laquelle un personnage se languit de sa maîtresse qui l'attend par-delà la mer et le rivage. Contrairement à la version de Trenet, la version anglaise décrit la mer comme un obstacle à l'amour, et le personnage attend impatiemment le jour où il n'aura plus besoin de prendre la mer car il aura enfin retrouvé sa bien-aimée.
Notons que le vers-clé "Somewhere" fait directement écho, d'un point de vue musical, à son pendant dans la version française, "La mer", dont il traduit bien la sonorité.